Ici, souvent, la piste se divisera, il s'agira alors de trouver la meilleure : un coup tu gagnes, un coup tu perds !
Je m'arrêterai le plus souvent pour partir en reconnaissance, essayer une trace puis une autre à pied car une fois dans l'ornière, qui peut être profonde d'un mètre, je ne pourrai pas faire demi tour ; ça m'aura valu quelques plantages royaux (dont un qui ne me prendra pas moins d'une heure pour en sortir), le tout sous 36 degrés dans une glaise collante où parfois je n'arriverai pas à marcher sans tomber, tellement la pente est forte...
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