J'arriverai en plein Conakry, de nuit et là, ce sera un bordel sans nom ! Toujours pas de signalisation mais cela ne servirait pas à grand chose puisqu'on m'expliquera que beaucoup d'usagers n'ont pas le permis !, ils achètent une voiture ou une moto et roulent... Je tomberai en pleine fête de l'indépendance, ce qui me vaudra une attente forcée pour mes visas. J'en profiterai pour me balader dans Conakry et ne pourrai que faire le triste constat d'un niveau de pollution ahurissant.
Là aussi, pas d'infrastructures, les déchets ne seront pas collectés de manière régulière, mais seront simplement stockés en masse en amont de la ville, pour finir en pleine saison des pluies sur le point le plus bas : la plage !
Même si ce triste spectacle sera moins impressionnant qu'à Saint Louis au Sénégal, il restera édifiant.
Je discuterai avec une habitante (depuis les années 50) qui m'expliquera que la plage était paradisiaque jusque dans les années 80 avant l'arrivée et la démocratisation du plastique...
Un grand MERCI au passage à Ismail, Félix et Sylvain pour m'avoir aidé à obtenir mes visas en un temps record.
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