Pour ne rien changer en Afrique, je continue de crever, même à vélo !
Deux crevaisons et un arrachement de valve !
Je casserai au passage un rayon et me rendrai compte que même à vélo, ça demande un peu de mécanique de voyager.
Heureusement, Baraka a tout ce qu'il faut (ou presque !) et la démerde est toujours de mise.
Je pédale sur un vélo laissé à Baraka par un sportif allemand après une compétition sur le Kilimanjaro...
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